- VEUILLEZ PRENDRE CONNAISSANCE DES INFORMATIONS SUIVANTES -
- ACTUALITES
Le lycée international François 1er a signé une convention de partenariat avec l’IES Eras de Renueva de León, communauté autonome de Castille et León, Espagne (http://ieserasderenueva.centros.educa.jcyl.es/sitio/). Cet établissement secondaire labellisé « France éducation » accueille plusieurs sections internationales dont des sections Bachibac.
Ce partenariat se concrétisera dès le printemps 2022 par des échanges d’élèves (sous réserve des conditions sanitaires), des projets Erasmus plus sont à l’étude pour 2022/23.
Christian HAAS-FRANGI par rev le 2021-05-25
Christian HAAS-FRANGI
Bonjour, Permettez-moi de vous adresser ces quelques mots pour vous donner des nouvelles d'un ancien du Lycée François 1er.
Il s'agit de Christian HAAS-FRANGI titulaire du BacS avec mention bien en 2009, puis prépa MPSI, suivi de son intégration à Centrale Marseille dont il vient d'être diplômé avec 189 autres élèves. Christian a reçu en plus de son diplôme, le 1er prix pour l'entreprenariat récompensant les concours externes auxquels il a participé (et remporté pour la majorité). Ci-joint une photo prise lors de la cérémonie de remise des diplômes, le 26 novembre dernier. Aujourd'hui, il travaille avec un CDI comme ingénieur software dans une société à Sofia Antipolis.
Daniel Haas ancien IPE (EDF) à la DAET.
Témoignages 2014 PSI par CPGE le 2015-07-30
Kevin Regnault, étudiant à Arts&Métiers Paristech, promo PSI 2013 2014 :
Mon cursus PCSI/PSI m’a permis d’obtenir une formation théorique et pratique de haut niveau (grâce aux cours de maths, physique et sciences de l’ingénieur). J’ai choisi d’aller à Fontainebleau au Lycée François Premier en PSI pour le soutien et l’équipe pédagogique de PSI : ils sont proches de nous, à notre écoute et n’hésitent pas à donner de leur temps en cas de difficultés.
La PSI est une filière récemment créée dans ce lycée par rapport aux autres CPGE, ce qui permet d’avoir des professeurs jeunes et dynamiques avec des méthodes efficaces de travail.
De plus, la localisation de la prépa à Fontainebleau, nous permet d’être loin du stress des prépas parisiennes et de Paris, ce qui pour ma part m’a permis d’arriver au concours dans un état serein, tout en profitant d'une excellente préparation pour les concours les plus exigeants.
Pour ma part, grâce à mes professeurs et à du travail personnel, j’ai pu intégrer l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, l'une des meilleures écoles françaises très souvent classée parmi les 5 meilleures écoles d'ingénieurs en France. Notamment, les compétences acquises grâce aux TP de Sciences Industrielles et de Physique, m’ont nettement aidé pour mes débuts en école d’ingénieur.
Contact : Kevin.regnault’’at’’ensam.eu
Milan Lacassin, étudiant à l’ESPCI , promo PSI 2013 2014 :
Étant très intéressé par les sciences, j'ai choisi de faire une classe préparatoire MPSI. Je suis allé au Lycée François 1er. Je me suis ensuite dirigé vers la filière PSI car elle présente un bon équilibre des matières et de bonnes chances sur des concours qui m'intéressaient (comme le concours Mines-Ponts). J'ai eu quelques difficultés car j'ai des méthodes de travail qui me sont assez propres, la pression me rend plus flemmard qu'elle ne me motive et j'ai des problèmes avec les travaux en temps limité. Mes professeurs en PSI ont très vite compris tout cela et se sont vraiment adaptés. J'ai aussi dû faire des efforts pour travailler sur mes difficultés et je me suis senti accompagné. Ces efforts, ma façon de travailler et la confiance que j'ai pu acquérir n'ont payé que tard dans l'année : aux concours. J'ai donc eu de bons résultats, bien meilleurs que le reste de l'année !
Pendant l'année j'ai fait mon TIPE (Projet type recherche ou ingénieur, épreuve orale commune à presque tous les concours) avec l'aide d'un chercheur à l'Institut Langevin (laboratoire de recherche, notamment sur les ondes). Ce projet m'a permis de connaître l'école dont dépend ce laboratoire: l'ESPCI ParisTech. Et j'ai appris qu'ils offraient des places en PSI via une admission sur titre : 8 places cette année. Je me suis renseigné un peu plus et je me suis rendu compte que cette école me correspondait très bien : formation très axée sur la recherche et pluridisciplinaire. Cette admission est assez différente des voies classiques et correspondait beaucoup mieux à mon profil. Je me suis donc lancé : j'ai travaillé ma lettre et mon CV et mes professeurs m'ont recommandé. J'ai été déclaré admissible et mon professeur de physique-chimie m'a ensuite très bien entraîné aux épreuves orales. J'ai finalement intégré la 133ème promotion de l'ESPCI ParisTech il y a un peu plus d'une semaine, et je suis ravi de ma première semaine.
Avec les difficultés que j'avais en début d'année, je ne pense pas que je serais dans une si bonne école en passant par les classes préparatoires que j'avais placé devant le Lycée François 1er dans mes vœux. Je remercie toute l'équipe de la classe de PSI du Lycée François 1er pour sa capacité à s'adapter à tous les élèves, quel que soit leur niveau et leurs ambitions, pour les amener vers leur meilleur niveau et une école qui leur corresponde au mieux !
Contact : milan.lacassin’’at’’espci.fr
Sarah Muller, étudiante à l’INSA Strasbourg, promo PSI 2013 2014 :
Les deux années que j’ai passées ont été vraiment riches, de différentes façons : des enseignements scientifiques de qualité en PCSI puis en PSI (mention spéciale pour les professeurs de maths et celui de SI), couplés avec une ambiance de classe agréable, enrichie grâce aux liens tissés à l’internat (que j’ai expérimenté pendant 2 ans). À F1, c’est sûr, ce n’est pas la même chose qu’à Louis Le Grand ou Henri IV, mais c’est un avantage : la pression est moins grande (sans toutefois permettre la relâche) et les professeurs sont à l’écoute des meilleurs autant que des moins bons, auxquels ils dispensent leur savoir de manière égale.
En ce qui concerne l’internat, ceux qui pourraient avoir des réticences, oubliez-les !! C’est vraiment un énorme plus pour la prépa, car on y noue des liens pas seulement avec les gens de sa classe, mais aussi avec les autres (Bios, MP, MPSI en ce qui me concernait.). Ces liens m'ont permis de vivre d'une manière tout à fait différente et bien plus agréable les deux ans de cours, l'entraide, le moral... tout çà !
J'ai choisi d'intégrer l'Insa de Strasbourg pour l'opportunité du double cursus qui permet, en parallèle du cursus principal de génie civil, de suivre un cours complémentaire en architecture qui aboutit après l'obtention du diplôme en génie civil de compléter en deux ans le diplôme d'architecture. Il existe seulement quelques écoles qui le proposent (dont l'Entpe) en admission par les banques de concours, et l'Insa est accessible par une candidature sur dossier (résultats du bac et bulletins de prépa), ce qui offre un avantage lorsque l'on a travaillé sérieusement tout au long de sa scolarité !
Contact : Sarahmuller’’at’’hotmail.fr
Arnaud VAUTRIN, étudiant à l’ENTPE Lyon, promo PSI 2013 2014 :
Fontainebleau est la ville idéale pour faire sa prépa. C’est le parfait équilibre entre la sérénité de la forêt et l’activité urbaine. Et le lycée est à l’image de la ville dans laquelle il se situe : les aménagements sont de qualité et il y fait bon vivre.
Étant interne, j’ai pu pleinement profiter de ces deux années, devenant rapidement très ami avec mes camarades et mon colocataire et alternant sessions travail et moments de détente.
En milieu de première année, j’ai choisi la PSI car j’étais plus motivé par les SI que par la chimie. Et je n’ai pas été déçu par la filière : les supports de cours sont intéressants, les professeurs sont très impliqués, disponibles, brillants et patients.
L’esprit concours est très peu présent en comparaison avec les lycées parisiens et c’est l’entraide qui prime. Pour autant, aux concours, on se rend rapidement compte qu’il n’y a aucun sentiment d’infériorité à avoir, au contraire. Personnellement, le jour du concours, le stress a rapidement laissé place à la détermination, je me sentais fort et prêt.
J’ai ensuite intégré l’ENTPE Lyon, une école de travaux publics et d’environnement, que je n’aurais jamais imaginé décrocher un an plus tôt. Je suis donc pleinement satisfait par mes deux années passées à Fontainebleau.
Contact : arnaud.vautrin’at’hotmail.com
Mathieu Deligné, étudiant à L’Ecole des Mines d’Alès, promo PSI 2013 2014 :
Après un BAC scientifique, j’ai choisi de continuer par une classe préparatoire aux grandes écoles dans le même lycée, le lycée François 1er. Il est certain que les classes prépas demandent du travail, de l’autonomie dans les révisions et beaucoup de persévérance, mais les équipes de professeurs sont vraiment derrière nous et nous poussent à nous surpasser. Je n’ai jamais regretté d’avoir choisi de faire ma prépa à Fontainebleau plutôt que dans un grand lycée Parisien : ici les professeurs nous connaissent personnellement et il n’y a pas d’esprit de concours malsain entre les élèves.
En première année j’ai choisi de suivre une classe de PCSI puis j’ai continué avec une classe de PSI. Les trois enseignants des matières majeures de cette classe (maths, physique et SI ) se démènent pour que nous réussissions au mieux. Toujours disponibles pour discuter, éclaircir un point de cours ou un exercice mal compris, ces professeurs s’adaptent au niveau et aux objectifs d’intégration de chacun : en effet pour presque chaque devoir surveillé et devoir maison, plusieurs types de sujet sont proposés (CCP, Mines, Centrale etc…), ainsi chacun peut vraiment travailler au mieux le concours qu’il souhaite préparer.
Après ma première année de Spé, j’ai décidé de redoubler même si j’avais décroché certains concours. En effet je n’avais pas réussi à obtenir une école qui m’intéressait vraiment. L’année de 5/2 (année de redoublement) n’a pas été facile comme on pourrait se l’imaginer, mais avec assiduité et soutien des professeurs j’ai décroché une école prestigieuse du groupe Mines-Ponts : en cette rentrée 2014, j’intègre l’École des Mines d’Alès. J’en suis réellement ravi car il s’agit d’une école très reconnue par les entreprises et qui propose une formation généraliste. Mon projet professionnel s’affine tous les jours un peu plus et je vais m’orienter vers une option de formation en Génie Civil / BTP.
Je garde un très bon souvenir de ces années de prépa et vous conseille de choisir le lycée François 1er pour pouvoir réussir dans de très bonnes conditions !
Contact : mathieu.deligne’’at’’gmail.com
Jordan Jomeau, étudiant à Sea Tech Toulon, promo PSI 2013 2014 :
En raison d’un certain attrait pour les sciences au lycée j’ai décidé d’aller en Prépa. Contrairement à d’autres prépas, « F1 » offre un cadre agréable pour étudier grâce à sa proximité à la fois de la ville, du château et de la forêt.
Pour ses dominantes en maths et en physique, j’ai préféré la MPSI à la PCSI lors de ma première année. Pour la seconde année j’avais le choix entre la MP ou la PSI, j’ai choisi la PSI car cette filière offre un meilleur équilibre entre la SI, la physique et les maths mais également entre la pratique et la théorie. Je n’ai pas à regretter ce choix puisque grâce à mon travail et à une équipe éducative toujours présente, nous poussant à donner toujours le meilleur, j’ai pu acquérir une culture scientifique sur de nombreux domaines que seule la prépa peut offrir. De plus il y avait une bonne ambiance entre les élèves et les profs, l’esprit de compétition n’était pas trop présent même si on savait que les concours nous attendaient à la fin.
Les concours ont représenté la partie la plus délicate de ces années, le rythme est encore plus soutenu que lors de la spé. Avec le recul on s'aperçoit que cette période passe très rapidement mais l'attente des résultats après les écrits et les oraux passe très lentement et devient très stressante.
Ma 3/2 ne m’a pas permis d’accéder à une école de mon choix, j’ai alors préféré faire une 5/2 pour pouvoir accéder à mes choix, même si ça revenait à repasser par la case concours et se remettre en question. Grâce aux soutiens et au dévouement de l’équipe pédagogique, j’ai réussi à améliorer encore mes connaissances dans l’ensemble des domaines et ainsi améliorer mes résultats.
Finalement, je vais intégrer SeaTech à Toulon, une école d’ingénieur ouverte sur les sciences et les technologies marines.
Contact : j.jomeau’’at’’gmail.com
Nicolas Carrara, étudiant à MATMECA Bordeaux, promo PSI 2013 2014 :
Après l'obtention de mon bac je me suis dirigé vers des classes préparatoires dans le but de m'ouvrir plusieurs opportunités dans le domaine de l'aéronautique. Je me suis donc dirigé vers la filière PCSI puis ensuite PSI pour la deuxième année.
Mon année de PSI a été pour le moins compliquée et j'ai dû faire une 5/2 car je n'ai pas eu les écoles que je souhaitais. Cependant elle a été riche humainement car nous étions une classe soudée et nous nous entraidions pas mal contrairement à l'idée qui peut être reçue de la prépa.
Mon année de 5/2 s'est plutôt bien passée dans l'ensemble et à la fin de l'année j'ai intégré MATMECA Bordeaux en Électronique, qui était l'un de mes choix favoris.
Pourquoi "F1" plutôt qu'une autre ?
Tout simplement parce que tout y est bien pour pouvoir réussir, du cadre extérieur de la ville au cadre pédagogique. J'ai eu le plaisir de travailler avec des enseignants que je qualifierais de géniaux, tant ils mettent tout en œuvre pour notre réussite et je les remercie grandement pour cela.
Pour finir je dirais que la charge de travail durant ces deux (et parfois trois) années est conséquente, et qu'il faut bien réfléchir avant de se lancer là-dedans, mais je le conseillerais à tout le monde tant l'expérience a été riche et si c'était à refaire, je le referais sans hésitation car je pense sincèrement que ça en vaut la peine.
Contact : ncarrara18 "at" gmail.com
Tatiana PEDREIRAS, étudiante à SUPMECA Paris, Promo PSI 2013-2014 :
Mon intérêt pour les sciences physiques et mathématiques s’est développé au fil de mes années lycéennes. C’est pourquoi, je me suis tournée vers une classe préparatoire PCSI au lycée François 1er.
La PCSI était marquée par le changement de rythme des cours, la découverte des khôlles et l’approfondissement des notions abordées au lycée.
Ensuite, l’année de PSI avait un rythme soutenu car nous devions préparer notre orientation ainsi que les écrits et les oraux des concours. Le TIPE m’a donné l’opportunité d’aborder un domaine scientifique que j’appréciais et qui se détachait du cadre des cours.
Finalement, j’ai pu intégrer Supméca Paris en 3/2, l’un de mes premiers vœux.
Pourquoi avoir choisi Fontainebleau ? D’abord, la ville de Fontainebleau offre un cadre d’étude agréable (forêt domaniale, château, complexe sportif à proximité du lycée, etc..), loin de l’agitation parisienne. De plus, durant ces deux années de prépa, nous n’avions aucun esprit de compétition en cours. L’entraide s’effectuait de manière tout à fait naturelle et il y avait toujours un camarade pour nous soutenir durant les moments difficiles ! Enfin, l’équipe pédagogique est toujours à l’écoute des élèves ayant le sentiment de « perdre pied » en raison d’un problème de méthodologie de travail ou de compréhension du cours.
Pour conclure, ces deux années de travail intense ont enrichi ma culture scientifique et m’ont apporté une grande rigueur intellectuelle. La prépa m’a aussi permis de prendre d’avantage confiance en moi et de rencontrer des personnes extraordinaires : avec du recul, j’en garde un bon souvenir !
Contact : tatiana.pedreiras’’at’’edu.supmeca.fr
Guillaume Franqueville, étudiant à l’ENSTA Bretagne, promo PSI 2013 2014 :
Le choix d'une classe prépa scientifique en terminale représente pour une majorité la possibilité de se voir ouvrir de nombreuses portes de carrières prometteuses en ingénierie, en recherche, etc... Pour moi c’était le moyen le plus sûr d'intégrer une école d'officier militaire, c'est donc avec cet objectif en vue que je n'ai pas hésité à tenter cette expérience. On est tout de suite mis dans le bain : l’enseignement y est pointu, exigent, le travail personnel à fournir est important et mieux vaut en être averti avant de faire ce choix !
Malgré tout cela je retiens surtout les bonnes choses de ces 2 années de PSI au lycée François 1er, tout d'abord le cadre de vie : il fait bon vivre à Fontainebleau, un tour en forêt que ce soit pour faire du sport ou se changer les idées, ce n'est pas donné à n'importe quel élève de prépa. Ensuite la qualité de l'enseignement : bien que j'ai fait 2 années de PSI je sais que seul mon travail personnel en 3/2 est à blâmer car les professeurs ont sans conteste le niveau et l'ambition nécessaire pour aider tout élève désireux de réussir à atteindre ses objectifs. C'est ainsi qu'en 5/2 j'ai pu atteindre le mien et intégrer l'ENSTA Bretagne avec une marge confortable et les résultats d'autres de mes camarades prouveront qu'il n'est pas indispensable de passer par une "grande prépa" pour atteindre cet objectif si difficile soit-il.
Pour terminer je retiens surtout que l'ambiance de classe était des plus agréables, les élèves s'entraidaient et le climat de compétition exacerbé qu'on s'attend à découvrir en prépa n'y existe pas ; j'aurai fait de formidables rencontres au lycée François 1er et j'y aurai passé 3 superbes années !
Contact : guillaume.franqueville "at" hotmail.fr
Damien HOFFMANN, étudiant à Supméca Paris, promo PSI 2013 2014 :
Après avoir obtenu mon baccalauréat j'ai choisi d'intégrer la CPGE du lycée François Premier. Je me suis orienté vers la filière PCSI plutôt que MPSI pour son coté plus pratique en ce qui concerne les sciences de l'ingénieur. Étudiant la SI depuis la seconde au lycée, c'est tout naturellement que j'ai choisi d'aller en PSI en deuxième année.
Contrairement à mes attentes, le niveau des cours est monté petit à petit pour nous permettre de nous adapter à la rapidité de prise de notes. En cas de difficulté, les professeurs étaient à notre écoute et nous aidaient si nous en avions besoin. L'ambiance dans la classe était vraiment agréable et il n'y avait pas d’esprit de compétition, comme on peut l'entendre dans certains autres lycées.
Au final, je garde de très bons souvenirs de mes deux années à François Premier
damien.hoffmann "at" edu.supmeca.fr
Jérôme Candelé, étudiant à l’ISMANS (Institut Supérieur des matériaux et mécaniques avancées du MANS) promo PSI 2013 2014 :
En ayant pour projet d’avoir une carrière dans l’aéronautique, le meilleur moyen d’accéder à l’ingénierie était selon moi de passer par une prépa.
Mes deux années de prépa ont été très difficiles, pour vous dire je peux compter sur mes doigts le nombre de notes que j’ai eu au-dessus de la moyenne ! J’ai beaucoup hésité à continuer en 2ème année (PSI) au vue de la difficulté de la première année (PCSI) et la fatigue que celle-ci engendrait.
Le choix aurait vite été fait si le corps enseignant n’était pas à la hauteur ; tant en PCSI qu’en PSI, les enseignants nous poussent vers la réussite, ils répondent à toutes les questions et se répètent si besoin, à l’oral comme par mail.
De plus, l’entraide entre étudiants est présente tout au long de l’année, certains expliquent à d’autres les notions incomprises durant les intercours, ce qui contribue à la bonne entente d’une classe !
J’ai donc décidé de ne pas m’arrêter au bout d’un an et d’aller jusqu’au bout de l’aventure, ce qui a payé puisqu’après avoir passé les concours j’intègre une école d’ingénieur spécialisée dans les matériaux et mécaniques avancées, ce qui correspond à mon projet de carrière.
Concernant le TIPE, j’ai eu la chance d’avoir un contact chez EDF avec lequel j’ai collaboré pendant 6 mois et qui m’a aidé jusqu’au bout à la réalisation de mon TIPE. Il n’y a pas de secret, c’est un travail personnel sur lequel il faut passer beaucoup (beaucoup) de temps et ne jamais abandonner l’idée qu’il faut aller au contact des entreprises. C’est avant tout un travail très enrichissant de par les rencontres avec des ingénieurs !
Contact : candele.jerome at gmail.com
PSI : année 2012-2013 par La direction le 2014-11-27
Voici quelques témoignages de nos anciens élèves, depuis 2010-2011, année de l’ouverture de la section PSI au lycée François Premier.
Les étudiants qui le souhaitaient mettent à votre disposition leur adresse mail : n’hésitez pas à prendre contact avec eux pour obtenir des renseignements directs sur leur parcours au lycée François Premier !
Remarque : pour éviter les spams sur les boîtes mails des étudiants, le sigle @ a été remplacé par " at " ; corrigez-le au moment d’envoyer le mail.
Au lycée j’étais travailleuse et j’aimais les maths, je me suis donc laissée tenter par la prépa. J’ai choisi la PCSI qui me semblait plus équilibrée que la MPSI (meilleur équilibre entre théorie et pratique, meilleur équilibre entre les différentes matières scientifiques). Le passage de la terminale à la SUP a été assez éprouvant mais le fait d’avoir été à l’internat m’a aidé. À François Premier les élèves se serrent vraiment les coudes, à l’internat il y a toujours quelqu’un pour nous aider ou nous écouter nous plaindre, et croyez moi c’est essentiel !
En entendant le mot prépa, on pense tous au mot compétition. Bien sûr, il faut faire ses preuves, mais à François Premier on ne rivalise pas avec nos camarades : les enseignants nous incitent à donner le meilleur de nous même, mais font attention à ne mettre aucun élève de côté.
L’année de SPÉ est une année très stressante car elle donne lieu aux concours. Heureusement l’équipe pédagogique de PSI se plie en quatre pour essayer de tous nous préparer aux écoles qui nous plaisent.
Pour ma part j’ai choisi de redoubler ma SPÉ, pour obtenir une école plus intéressante. Certes c’est une année difficile de plus, mais vu le résultat, je ne regrette pas. Je visais le concours TPE/EIVP rattaché au concours Mines-Ponts, et je suis arrivée à mes fins. J’ai de plus très bien vécu cette année de 5/2 qui m’a aidé à prendre plus confiance en moi et en mon travail.
En cette rentrée 2013, j’intègre l’ENTPE – fonctionnaire, qui était mon premier choix !
Pour conclure, la prépa, ce sont deux ou trois années intenses durant lesquelles on apprend à se remettre en question. Ce sont aussi trois années de rires et de rencontres avec de très bons camarades, ainsi qu’avec des professeurs qui sont passionnés par ce qu’ils enseignent.
Marie Couturier, étudiante à l’ENTPE-fonctionnaire, promo PSI 2011-2012 puis 2012-2013.
Adresse électronique : marie.couturier at entpe.fr
Quand on est élève en lycée, le choix de faire une classe prépa est une décision à ne pas prendre à la légère, puisqu’elle détermine le rythme de vie pour les deux (parfois trois) années à venir après le Bac. C’est incontestablement une filière d’excellence et donc exigeante. J’ai commencé avec quelques a priori qui se sont vite fait oublier au cours de ces deux années à "F1".
Quant au choix de la filière (MPSI ou PCSI tout d’abord, puis, pour la deuxième année pour ma part, MP ou PSI puisque j’étais en MPSI), cela dépend beaucoup de ses propres goûts et des écoles visées, mais d’avoir choisi la PSI ne m’a jamais déçu. J’ai eu la chance de pouvoir travailler avec une équipe dynamique d’enseignants, M. Jaulent en Mathématiques, M. Poncet en Sciences Physiques, M Honorat en Sciences de l’ingénieur... Tous se sont impliqués personnellement à notre réussite et je ne peux qu’encore les remercier pour cette année, studieuse certes, mais avec toujours une excellente ambiance dans notre classe...
Le TIPE, plus que d’être une épreuve parmi d’autres aux concours, est une occasion de sortir du contexte des cours de prépa, de rencontrer et d’échanger avec des ingénieurs, directeurs de projet et toutes sortes de professionnels qui sont pour beaucoup aussi d’anciens "taupins". Mon travail de TIPE s’intéressait à l’optimisation de la résistance en flexion (supposée pure) du longeron d’aile d’un avion de voltige de série des années 1970 : le cap-10B d’Auguste Mudry. Plus qu’un "exercice" de calcul, ce fut pour moi un véritable travail de la démarche scientifique et de la gestion d’un projet avec ses contraintes, ses échéances...
J’ai le bonheur d’intégrer, en cette rentrée 2013, au prix d’une deuxième tentative (j’avais échoué en fin de MPSI), l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile en tant qu’EPL (élève pilote de ligne) : la fameuse « ENAC pilote ». C’est une école qui me tentait depuis longtemps et qui me permet de concrétiser un rêve d’enfance. C’est une filière très sélective et, en cette période difficile pour notre compagnie aérienne nationale, le siège d’or chez Air France pour les EPL sortant d’école n’est plus garanti comme auparavant. La réussite dans cette voie est cependant loin d’être impossible et le petit nombre de places offertes au concours (une trentaine) ne doit pas constituer un obstacle démotivant…
Preuve par expérience, faire sa classe prépa au Lycée François Premier à Fontainebleau c’est faire un choix pour son avenir, le tout dans un cadre agréable et à deux pas de la forêt bellifontaine. Pour le reste, une année en prépa ne se décrit pas, elle se vit !...
Vincent Saget, promo PSI 2012-2013, étudiant à l’ENAC pilote de ligne
adresse mail : vitsgt at aol.com
Un point important est l’environnement dans lequel vous évoluez en classe préparatoire et Fontainebleau, avec sa forêt, son château et son centre ville constituent un cadre idéal pour étudier sereinement, loin du stress que peut entrainer la ville de Paris. Le lycée en lui même est à l’image de la ville : les locaux récents, et le matériel performant des labos de Physique et de Sciences de l’Ingénieur viennent compléter le cadre historique de l’établissement.
De la même manière, les équipes pédagogiques des classes de première année PCSI et de deuxième année PSI se montrent très efficaces car elles aident formidablement les élèves à donner le meilleur d’eux-mêmes en restant constamment à leur disposition et de manière très agréable. L’enseignement de haute qualité que j’ai reçu durant ces deux années me permet aujourd’hui de ne rien envier aux élèves issus des "grandes prépas", la preuve : après un parcours PCSI puis PSI, j’intègre l’école Arts et Métiers ParisTech, au centre d’Aix en Provence, et je retrouve dans ma classe des élèves venant des classes étoilées de Janson de Sailly, de Chaptal ou encore de Louis le Grand !
Fatih Kurt, étudiant aux Arts et Métiers ParisTech à Aix en Provence, promo PSI 2012-2013
Adresse électronique : kurt7729 at gmail.com
Suite à une première année en PCSI, j’ai choisi de continuer ma formation en PSI, section qui apporte un enseignement équilibré entre mathématiques, physique et sciences industrielles. J’y ai retrouvé une équipe pédagogique compétente et dynamique, avec laquelle des liens se sont rapidement tissés pour travailler dans la bonne humeur tout au long de l’année. Plus que jamais dans ma scolarité, j’ai eu des professeurs à l’écoute et disponibles, cherchant à nous accompagner et satisfaire les ambitions de chacun en répondant à toutes nos questions. En effet, suivant les écoles visées, les épreuves varient à l’écrit comme à l’oral et les professeurs proposent alors plusieurs difficultés d’exercices au choix de chacun pour se préparer au mieux, l’objectif restant la réussite de tous.
Par ailleurs, les clichés sur les classes préparatoires sont à proscrire à François 1er, où entraide et enthousiasme sont les mots d’ordre. Pour ceux qui ont peur de la charge de travail, sachez que je n’étais pas forcément un gros bosseur au lycée, mais celle-ci étant progressive, on travaille plus sans forcément s’en rendre compte, et avec plaisir car on apprend énormément de choses très intéressantes en sciences. En parallèle, cela ne m’a pas empêché de garder ma vie sociale. De plus, pour ceux qui hésitent avec les prépas parisiennes, sachez que les profs ne sont pas plus compétents là bas ; c’est juste le niveau d’entrée des élèves qui est plus élevé, les résultats aux concours sont donc globalement meilleurs. A Fontainebleau, aucun élève n’est laissé de côté et si vous êtes bons, vous intégrerez des écoles prestigieuses au même titre que dans d’autres prépas.
Pour ma part, je n’ai pas eu ce que je voulais à ma première tentative aux concours et j’ai donc recommencé mon année de PSI, pour finalement décrocher les Arts et Métiers ParisTech : une des meilleures écoles d’ingénieurs française.
En conclusion, je garde un très bon souvenir de mes trois années de prépa à François 1er, ainsi que bon nombre d’amis. Les classes préparatoires vous apprendront beaucoup, autant sur le plan scolaire que personnel. Il faudra travailler, mais l’investissement est très largement rentabilisé ! Alors bon courage !
Rémy Pampin, étudiant à Arts et Métiers ParisTech à Châlons-en-Champagne, promo PSI 2011-2012 puis 2012-2013
Adresse électronique : remy.pampin at hotmail.fr
J’ai tout d’abord décidé d’aller en Prépa en raison d’un certain attrait pour les sciences. Après une première année en PCSI, j’ai ensuite décidé de poursuivre mon parcours en PSI. Cette voie m’a attirée pour son côté plus appliqué. Ce fut une bonne surprise : dans cette section, les parallèles entre la physique, les sciences de l’ingénieur et les mathématiques se sont faits présents tout au long de l’année.
En ce qui concerne le travail, effectivement, la quantité à fournir pouvait à première vue sembler rédhibitoire. C’est ici selon moi qu’intervient un des grands atouts de la prépa du Lycée François Premier. En effet, à aucun moment de mes 2 années je ne me suis senti seul, enseveli sous une montagne de travail. L’ambiance de classe et la proximité de l’équipe enseignante jouent un rôle fondamental et sont probablement les meilleurs que j’ai pu connaitre dans ma scolarité.
A mon sens, la période la plus délicate de ce parcours fut celle des concours. De peur de passer à côté d’une occasion, j’ai décidé de tous les passer et il est vrai que cette période intensive d’un mois d’épreuves écrites (une semaine par concours !) ne fut pas de tout repos. D’autant plus qu’à l’issue des écrits, fin mai, il faut rester concentré en vue des oraux pouvant s’échelonner jusqu’au 20 juillet. Mais je m’en suis bien sorti, et j’ai intégré une école réputée dans les domaines riches que sont l’énergie, l’eau et l’environnement : l’Ense3 à Grenoble.
Au final je pense qu’il ne faut pas hésiter à franchir le cap de la prépa si l’on est attiré par les sciences et si on est un minimum conscient du travail qui nous attend. Ces deux (ou trois) années n’en sont alors que plus enrichissantes sur le plan humain, mais aussi sur le plan des connaissances et des savoir-faire : le TIPE (sorte de TPE amélioré) en est un bon exemple.
Grégoire Decarnelle, promo PSI 2012-2013, étudiant à l’école Ense3 – INP Grenoble
Adresse mail : g.decarnelle at gmail.com
La dernière année de prépa n’est pas simple, les concours au bout le TIPE pas fini. Toutefois le corps enseignant nous aide sans pour autant nous tenir la main. Et puis malgré les difficultés qui sont la densité du cours et les nombreux devoirs sur table et devoirs maison, on sent via cette densité de cour une sorte d’élévation culturelle et spirituelle qui est très agréable. Et personnellement c’est ce sentiment qui m’a permis de garder un rythme de travail personnel conséquent.
Une autre chose à préciser. On dit souvent que les professeurs ne font pas la matière mais en prépa on a tellement d’heures de cours avec les mêmes profs que finalement si on ne les aime pas, on trouve la matière grossière et barbante. Mais je trouve que le corps enseignant de la PSI est relativement jeune et dynamique et non barbant.
Johan Maurin, promo PSI 2012-2013, étudiant à l’Isima Clermont-Ferrand
adresse mail : flanders at live.fr
+ Afficher / masquer la suite de cette publication ...PSI : année 2011-2012 par La direction le 2014-11-27
L’équipe pédagogique de la classe de PSI met tout en œuvre pour que les élèves atteignent leurs objectifs. Les professeurs, compétents et consciencieux, sont toujours à l’écoute des élèves pour répondre à leurs questions, les guider dans le choix d’une école où les conseiller sur leurs méthodes de travail. Ils sont facilement abordables et ne rabaissent jamais un élève pour une question peu pertinente.
Pour que chaque élève puisse préparer correctement le concours visé, certains DS ont plusieurs sujets (issus de banques de concours différentes). Les plus forts sont donc préparés aux concours difficiles sans que les plus faibles soient perdus. Le suivi des élèves est personnalisé et les professeurs veillent à la réussite de toute la classe. Les interrogations de cours sont fréquentes ce qui pousse les étudiants à travailler régulièrement chaque matière (ce qui est indispensable pour réussir).
J’ai passé un an au Lycée FI en 5/2 et je visais exclusivement les concours militaires. J’ai beaucoup progressé par rapport à ma 3/2, notamment en mathématiques grâce à la rigueur du professeur. Lors de la préparation aux oraux, les professeurs me donnaient des exercices type écoles militaires. J’ai ainsi décroché le concours de la magnifique Ecole de l’Air. Ça vaut le coup de se donner à fond pendant ces dures années de prépa pour obtenir une école géniale qui aboutira sur le métier de vos rêves. Bon courage !
Maurine Drivière, étudiante à l’Ecole de l’Air de Salon de Provence - promo PSI 2011 2012.
Adresse électronique : maurinedriviere at hotmail.fr
J’ai effectué ma première année en PCSI puis j’ai choisi de continuer en PSI car l’enseignement dispensé, notamment par le biais des Sciences de l’Ingénieur, offre une approche globale et concrète du métier d’ingénieur. Durant ces deux années, j’ai pu acquérir des connaissances scientifiques et des méthodes de travail solides et nécessaires pour ma poursuite d’études en école d’ingénieur ; ceci grâce à la qualité de l’enseignement que j’ai reçu.
Bien sûr, la préparation aux concours est exigeante en temps et en énergie, la quantité d’efforts et de travail à fournir est importante mais la prépa c’est aussi l’école de la persévérance et de l’humilité, des qualités importantes pour de futurs ingénieurs.
D’autre part, il règne à François 1er une bonne ambiance ce qui permet de préparer les concours dans de bonnes conditions, les profs sont disponibles et à notre écoute et les élèves sont toujours prêts à s’aider les uns les autres.
Je garde donc de très bons souvenirs de mes deux années de prépa dans ce lycée.
Sophie Payan, étudiante à l’INSA Strasbourg en génie civil - promo PSI 2011 2012.
Après l’obtention de mon baccalauréat en section S, j’ai effectué ma prépa scientifique au lycée Francois 1er en passant par la filière MPSI puis PSI. Avec un niveau d’enseignement équivalent à celui des prépas parisiennes, une prépa à « F1 » présente plusieurs avantages. D’une part, elle met en place une proximité avec les professeurs qui sont toujours là pour nous aider et répondre à toutes questions. D’autre part, on y trouve énormément d’entraide et de soutien entre élèves, assurant une excellente cohésion au sein des classes préparatoires.
En ce qui concerne mon parcours, le choix de la filière PSI s’est fait à la découverte de la matière SI (Sciences de l’Ingénieur) en MPSI. Toute l’année, j’ai eu du plaisir à la travailler, et c’est ainsi que j’ai souhaité la poursuivre de manière plus approfondie en deuxième année. En effet, en PSI cette matière bénéficie de 2 heures supplémentaires (par rapport à la filière MP) qui nous permettent de profiter de l’excellente salle de TP, où sont installées de nombreuses maquettes pour mettre en application les connaissances acquises et nous préparer de manière optimale aux épreuves orales de SI.
Le choix de la 2ème année PSI, c’est pour moi l’assurance d’un excellent niveau de cours en sciences et aussi en lettres (bien que ces dernières se ne soient pas mes matières favorites :) ) ! L’équipe pédagogique de PSI est toujours prête à vous écouter et à vous encadrer dans votre travail. C’est pour cela que j’ai énormément apprécié mes années à F1, que ce soit pour le sérieux du lycée ou pour son ambiance.
Alexandre Lepagnot, étudiant à l’ENSEM INPL - promo PSI 2011 2012.
Je suis entré en PSI lors de son ouverture il y a deux ans, après une année
passée en MPSI. Cela m’a permis d’avoir un enseignement moins axé sur l’abstraction mathématique comme le font les MP, et du coup plus proche de ce qui me plaisait alors (malgré le fait que j’aime les Mathématiques aussi).
Le corps enseignant des PSI est très proche des élèves et très impliqué, c’est primordial pour garder le moral tout au long de l’année !
Ces deux années en PSI (j’ai en effet effectué une « 5/2 ») à François Ier furent superbes et, je pense, moins stressantes qu’elles l’auraient été dans une prépa parisienne, mais avec pourtant un enseignement de qualité permettant aux meilleurs et aux assidus d’avoir des écoles très réputées. Je pense notamment à Baptiste et à son admissibilité à l’ENS, fait plutôt rare dans les lycées de province à taille humaine, toutes filières confondues.
Pour ma part, j’ai intégré l’école des Arts&Métiers Paristech au centre de Bordeaux, et je suis très content de cet aboutissement, car c’était le premier choix sur ma liste de voeux après mes écrits.
Je compte par la suite m’orienter sûrement vers un domaine industriel/mécanique et profiter de tous les avantages de mon école.
Pour conclure, mes années au lycée François Ier furent vraiment géniales ; j’ai pu me faire de très bonnes amitiés qui dureront dans le temps, tout en intégrant une école de grande qualité.
Donc n’hésitez pas, venez faire votre prépa à François Premier ;)
Cyprien Moreau, étudiant à l’école des Arts et Métiers - Bordeaux - promo PSI 2011 2012.
Adresse électronique : cyprien_brie at hotmail.com
Les classes préparatoires aux grandes écoles sont une spécificité française qui permettent d’acquérir beaucoup de compétences, d’apprendre à fournir un travail personnel régulier, et d’améliorer sa façon de s’exprimer. Hélas elles ne véhiculent pas toujours une bonne image : elles inciteraient à l’individualisme et épuiseraient les étudiants par la charge de travail. Je n’ai absolument pas vécu ce préjugé au lycée François 1er.
Précisons tout d’abord le cadre : le lycée est situé à dix minutes du centre ville de Fontainebleau, une ville chargée d’Histoire où il fait bon se promener. La forêt se situe derrière le lycée pour les cyclistes ou les amoureux de la nature, et pour tous les autres sportifs, gymnases, stades et piscines sont à proximités. Et oui, en prépa on peut – et il est même conseillé - de faire un peu du sport pour garder une bonne hygiène de vie ou simplement pour se défouler. Concernant le lycée, sa taille humaine lui donne un avantage énorme vis-à-vis des « meilleures » prépa parisiennes, véritables « usines à taupins ». Ici tout le monde se connait, il y a une très bonne ambiance, surtout au réfectoire ! J’y ai fait de très belles rencontres. De plus on peut toujours trouver de l’aide dans les salles de travail, lieux dédiés aux prépa. Le laboratoire de Sciences Industrielles est particulièrement bien équipé, ce qui permet de mettre en application sur des systèmes réels des notions théoriques étudiées en cours. C’est grâce à ce laboratoire, et à l’aide de M. Iceta et M. Honorat, enseignants de Sciences Industrielles, que j’ai pu, à la fin de l’année, m’entraîner à l’épreuve de SI du concours Centrale et obtenir une très bonne note à l’épreuve de travaux pratiques. C’est grâce à un travail personnel assidu et au soutien de tous les professeurs que j’ai pu intégrer l’école de mes rêves : Arts&Métiers ParisTech, qui me paraissait inaccessible en début d’année...
Oui, vous pouvez tous intégrer l’école de votre choix ! Ayez de l’audace, de l’ambition : il suffit de toujours rester motivé ! Alors donnez-vous les moyens de réussir (travail personnel...), et pour le reste, faites confiance à l’équipe pédagogique de PSI. Tous les cours sont d’une grande qualité : structurés, complets, sans superflu. Les professeurs ne laissent aucun étudiant de côté : ils sont toujours disponibles pour répondre aux questions, aider les étudiants en difficultés, et tous les sujets de Devoirs Surveillés contiennent des parties de tous niveaux de complexité. Pour ceux qui visent des concours plus difficiles, de très nombreux Devoirs Maison sont proposés pour s’entraîner efficacement à tous les concours. Les enseignants sont très flexibles, et vous verrez que suite aux résultats des écrits, vous aurez la possibilité de vous entraîner aux oraux de votre choix. M.Jaulent, professeur de Mathématiques, a par exemple organisé des après-midi pour travailler sur Maple, et M. Picard, enseignant de Français-Philosophie m’ a improvisé un entretien type ENSAM, puisqu’il n’existe pas d’annales. Enfin, M.Poncet, professeur de Sciences Physiques, passionné par la matière qu’il enseigne, m’a tout d’abord appris la rigueur et la réflexion qui me faisaient défaut pour les concours, et maintenant, avec du recul, je pense qu’il m’a ouvert l’esprit sur tous les phénomènes physiques qui nous entourent ; il m’a donné envie de continuer à étudier les sciences, et peut-être faire de la recherche !
Baptiste Lafay, promo PSI 2011-2012, élève-ingénieur aux Arts et Métiers ParisTech au centre de Bordeaux.
Adresse électronique : baptiste.lafay at ensam.eu
Étant élève en MPSI, j’étais partie pour faire une MP. Mais au cours de cette année de MPSI, l’ouverture de la classe de PSI à François 1er fut une pour moi une très bonne opportunité. En effet, les heures de cours sont plutôt homogènes (un peu moins de mathématiques qu’en MP, un peu plus de Physique et de SI). On peut donc consolider chaque matière sans laisser une autre de côté. Quand je suis arrivée en première année de CPGE, je ne connaissais pas la"bonne" démarche de travail à mettre en place pour être efficace. Il a fallut que j’arrive en PSI pour pouvoir adopter le bon rythme et optimiser mon travail personnel. Malheureusement, mon année de 3/2 ne m’a pas permis d’obtenir ce que je voulais. J’ai donc décidé de redoubler (faire 5/2).
L’année de 5/2 fut déterminante. Pour entamer une 3ème année, il m’a fallut me préparer psychologiquement à fournir une année de plus de travail soutenu et régulier. Grâce au soutien des professeurs, qui ont fait preuve d’un bon suivi _à Fontainebleau, le fait d’être dans une classe avec beaucoup d’élèves n’est pas un obstacle à un bon encadrement_ , je suis actuellement à l’ENSMM Besançon, école du réseau Polyméca. Elle me satisfait et présente une formation qui me plaît et correspond à mon profil d’ancienne PSI.
Jessica Ravoaja, étudiante à l’ENSMM - Besançon - promo PSI 2011 2012.
Adresse électronique : jessica.ravoaja at ens2m.org
Une année en PSI au lycée François 1er
Cher(e) lycéen(ne), si comme beaucoup de gens tu es indécis(e) concernant ton choix de filière pour ta classe préparatoire, laisse moi te parler mon expérience en 2ème année PSI. Tout d’abord, j’ai décidé de faire ce choix d’orientation pour une raison simple : étant élève en 1ère année MPSI, j’ai été confronté à un cursus très encré dans l’abstraction mathématique. Mais lors de ma première année, j’ai aussi découvert les sciences de l’ingénieur, qui constituent à mon goût une matière passionnante, susceptible d’intéresser toute personne aimant la technologie et l’étude des systèmes. Mon choix pour la PSI a donc été conditionné par le fait qu’il y avait beaucoup plus d’heures allouées pour les sciences de l’ingénieur qu’en filière MP.
Pour proprement parler de mon impression concernant mon année en PSI, je tiens d’abord à préciser que je suis arrivé dans cette classe avec un niveau faible. Cependant, je n’ai jamais manqué d’intérêt pour l’étude des sciences tout au cours de l’année : il est vrai, qu’avec des TP passionnants, parfois même surprenants, que se soit en sciences de l’ingénieur ou en physique, c’est ici que la théorie prend tout son sens. En d’autres termes, si tu es intéressé par un métier scientifique et technique, la mise en évidence des phénomènes physiques, ou la beauté des démonstrations mathématiques (les plus friands d’algèbre linéaire seront tout aussi bien servis dans cette filière, qui offre contrairement aux idées reçues, un enseignement en mathématiques très complet !), alors la PSI est faite pour toi.
Finalement, étant passionné d’aviation, j’ai, grâce au concours IPSA/EPITA, intégré l’IPSA Paris, qui est une école d’ingénieur aéronautique. Le programme s’inscrit dans la continuité de celui de PSI, avec l’approfondissement des connaissances en mécanique des fluides, en thermodynamique, en logique combinatoire, en analyse complexe, et bien d’autres. Je reçois aussi des cours de marketing et d’expression orale, car les métiers de l’ingénieur peuvent aussi amener à diriger une équipe. D’ailleurs, les sciences de l’ingénieur, par des exposés oraux, permettent de préparer cette compétence dès la PSI.
Si je peux me permettre un dernier conseil : surtout, ne pas négliger les langues et le Français ! Malgré mon niveau faible tout au cours de l’année dans les matières scientifiques, j’ai été très proche de l’admissibilité à l’école navale (sur la banque Centrale/Supélec), grâce à une excellente note en Français au concours.
J’espère donc que ce commentaire pourra éclairer ton choix concernant ta poursuite d’étude en direction des classes préparatoires, et que la PSI du lycée François Ier ainsi que ses excellents professeurs, te permettra de mener cette seconde année de prépa, débouchant sur les concours, avec épanouissement.
Vincent Lemoine, promo PSI 2011 2012, étudiant à l’IPSE à Paris.
Adresse électronique : vincentlemoine81 at hotmail.com
Les deux années de CPGE que j’ai vécu à François 1er ont pour moi été source de difficultés : affronter l’enseignement supérieur n’est pas chose aisée ! mais m’ont été finalement très enrichissantes.
Tout d’abord la transition entre le lycée et l’enseignement supérieur a été un peu "bousculante". J’étais en 1ère année MPSI (math, physique, sciences de l’ingénieur), et en début d’année les cours me semblaient avoir un tempo très élevé. Il faut prendre le rythme mais pas seulement... ; il y a aussi un "esprit scientifique" à acquérir pour comprendre les innombrables notions nouvelles qui sont présentées et expliquées, et que l’on doit assimiler puis maîtriser.
Par la suite, le rythme des cours ne faiblit pas, mais l’on acquiert une certaine organisation dans le travail, et un apprentissage des cours plus efficace. Pour ma part, j’ai réussi à obtenir ce rythme uniquement grâce à une régularité dans le travail personnel, qui a été une part très importante de ces deux ans. Bien sûr les khôlles, les devoirs, les contrôles vous y obligent en partie. Un équilibre avec des moments de détente et de loisir est aussi nécessaire pour garder la tête froide.
En 2e année, j’ai choisi la filière PSI (physique et sciences de l’ingénieur). Là, ça allait mieux. La prépa m’a réservé beaucoup moins de surprises. Les cours, les TP, m’ont semblé plus accessibles et donc plus intéressants. Et puis il y avait un nouvel objectif : les concours d’entrée dans les Grandes Ecoles d’Ingénieurs. En PSI, cela a motivé non seulement les étudiants, mais aussi les professeurs, qui se sont beaucoup investis pour nous aider.
La prépa m’a vraiment appris à développer des capacités de travail, d’apprentissages et d’analyses. Elle m’a aussi permis de découvrir un panel de compétences scientifiques, insoupçonnées jusque là.
Finalement, ces deux années sont passées très vite et ne seront sûrement pas de trop pour être ingénieur !
Vincent Reboul - Elève à François 1er, classe de PSI, en 2011-2012, étudiant à SupMéca, Paris.
Adresse électronique : vincent.reboul77 at gmail.com
Après une première année en PCSI, cette année de PSI restera dans ma mémoire : en plus d’être une année charnière, elle fut marquée par ceux qui m’y ont accompagné. Il y a eu nos profs, bien sûr, mais aussi les autres élèves de la prépa. L’esprit concours tel qu’on le décrit parfois était pour ainsi dire inexistant, remplacé par une émulation entre élèves. C’est notamment grâce à cette ambiance que j’ai apprécié mon année.
A l’issue des écrits et oraux, j’ai choisi d’intégrer Arts&Métiers Paristech au centre de Metz où je démarre un double cursus pour obtenir un double diplôme : Arts&Métiers, mais aussi celui d’une prestigieuse Université Allemande !
J’ambitionne de travailler dans le domaine de l’informatique.
Pierre Logerais, élève à l’école des Arts et Métiers - Metz - promo PSI 2011 2012.
Adresse électronique : logerais.pierre at laposte.net
Quand j’essaie de me remémorer mes souvenirs de lycéen concernant
mon orientation, je me rend compte à quel point il était difficile de
s’identifier aux passés d’étudiants rencontrés lors de forum, et qu’il
est compliqué de prendre une décision lourde de conséquence pour son
avenir avec peu de connaissance sur le monde professionnel dans lequel
on s’apprête à s’engager.
Et pourtant, je suis persuadé d’avoir fait le bon choix, celui de la
prépa. Certes ce n’est pas de tout repos ; il faut consacrer une grande
partie de son temps au travail, mais se sont des concessions qui ne sont
pas si pesantes : que dire lorsque ça se déroule dans de si bonnes
conditions, loin du stress des concours et lorsque l’ambiance est
conviviale . J’ai passé deux super années.
Très bien accueilli par nos "spés" en MPSI, j’ai fait le choix
d’évoluer vers la PSI : même si je conservais un attrait pour les
mathématiques, celles-ci ne sont pas délaissées en PSI. Bien au
contraire cette filière aide au développement de l’esprit pratique et à
faire le lien entre des cours parfois très théoriques et des cours bien
plus concret. J’y ai acquis un solide bagage scientifique qui m’est
précieux en école d’ingénieur.
L’équipe pédagogique très compétente, à l’écoute et disponible, est
surement l’une des raisons des très bons résultats de cette année. Cela
m’a permit d’intégrer l’ENSEEIHT à Toulouse en filière Hydraulique et
Mécaniques des Fluides et je peux vous assurer que, pour y avoir vécu
maintenant quatre mois, que j’en suis ravi et comblé.
Je reste à disposition pour toutes questions :
william.magnet at etu.enseeiht.fr
William Magnet, PSI promo 2011-2012, étudiant à l’ENSEEIHT à Toulouse en filière Hydraulique
Je m’appelle Amélie Chardon, j’ai 20 ans et je suis une ancienne élève de PCSI/PSI au lycée François Premier à Fontainebleau. Depuis septembre 2012, je suis en première année d’école d’ingénieur à l’ENSG (Ecole Nationale Supérieure de Géologie à Nancy).
A l’issue de ces deux années de prépa, j’ai choisi d’intégrer une école qui me forme dans le domaine qui m’intéresse : la géotechnique et le génie civil. Malgré la difficulté de cette formation, ce fut une expérience enrichissante.
Avec le recul, cette classe prépa de province et à taille humaine m’a permis de travailler et de progresser à mon rythme, sans subir trop de pression ni de concurrence entre les élèves, et d’intégrer une école qui me plaît. L’ambiance au lycée était vraiment très bonne, aussi bien entre les élèves des différentes classes qu’avec les professeurs.
En conclusion : venez à François Premier si vous voulez recevoir un enseignement de qualité sans ressentir la pression qui est présente dans certaines classes prépa parisiennes.
Amélie Chardon, étudiante à l’Ecole Nationale Supérieure de Géologie à Nancy, promo PSI 2011-2012
Après avoir effectué ma première année en filière MPSI, j’ai choisi la filière PSI en deuxième année suite à ma préférence pour les Sciences Industrielles et la Physique. Une fois en PSI, le rythme de travail s’est accéléré par rapport à la première année. Tout allait beaucoup plus vite, les DS et les « khôlles » s’enchaînant pour se préparer au mieux aux concours, dont les écrits ont lieu en avril. Pour faire face, j’ai fourni un travail personnel intense et constant durant cette deuxième année.
J’ai toujours voulu intégrer une école d’ingénieur spécialisé dans l’aéronautique. Aussi, tout en préparant les concours de base (E3A, CCP...) comme mes camarades, je me suis penché sur une école d’ingénieur aéronautique en alternance. Il a fallu commencer par passer la sélection sur dossier en février, puis les écrits début avril, puis l’entretien de motivation en mai, et enfin trouver le plus rapidement possible une entreprise pour l’alternance – en passant de véritables entretiens d’embauche.
Ayant réussi à passer toutes ces étapes, je poursuis désormais mes études au Conservatoire National des Arts & Métiers, dans filière « aéronautique et spatial » et je suis en alternance chez Air France dans le service « prévention et analyse des vols ». En deuxième année, durant ma séquence académique au CNAM, je devrai effectuer deux mois de cours à l’ISAE (Supaero + ENSICA) à Toulouse et 1 mois de cours à l’étranger. En troisième année j’aurai la possibilité de me spécifier dans une des trois options suivantes : « Structures & Matériaux », « Propulsion & Energétique » ou « Architecture & Systèmes ». Comme dans une école d’ingénieur classique, dans trois ans j’aurai un diplôme d’ingénieur spécialisé aéronautique et spatial, certifié CTI (Commission des Titres d’Ingénieur) en partenariat avec le CNAM (Conservatoire National des Arts & Métiers).
Marc Tiefenthaler, promo PSI 2011-2012. Adresse électronique : marc.tiefenthaler at wanadoo.fr
J’ai effectué deux ans dans la PSI à François premier après avoir effectué une PCSI dans un autre établissement. J’ai décidé de poursuivre ma préparation aux concours au sein de ce lycée pour sa taille humaine. En effet, il y a une bonne proximité avec l’ensemble des professeurs mais aussi une bonne entraide parmi les élèves. Mon choix de cette filière a été motivé par le goût des sciences appliquées comme la SI mais aussi pour le programme de Physique qui comprend des parties biens spécifiques à notre filière et qui rejoint les outils et méthodes utilisés en SI. En outre, la Psi est la filière la plus équilibrée : on y fait beaucoup de SI tout en gardant un programme soutenu en maths et physique.
En ce qui me concerne, je suis rentré à François premier en 3/2 avec l’envie de travailler dans l’énergie et plus spécialement la mécanique des fluides et je poursuis finalement mes études en informatique et mathématiques appliquées à L’ENSEEIHT à l’issu de ma 5/2. Ma 5/2 aura été déterminante dans ma poursuite d’étude et je garde un bon souvenir de ces deux ans passés à Fontainebleau.
Adrien Sourisseau, promo PSI 2011-2012, étudiant à l’ENSEEIHT à Toulouse.
Adresse électronique : adrien.sourisseau at gmail.com
Après ma Terminale S, je ne savais pas trop quelle orientation choisir. Néanmoins j’aimais bien l’ambiance lycée, c’est pourquoi j’ai opté pour une classe prépa.
J’ai choisi le lycée François Premier de Fontainebleau car il était proche de mon domicile : en effet, je ne souhaitais pas me retrouver en internat. J’étais plutôt attirée par la Physique que par les Mathématiques. J’ai donc choisi de m’orienter en PCSI. Durant cette année, j’ai découvert les Sciences de l’Ingénieur (SI), matière qui m’a plu puisqu’elle abordait des réalisations technologiques, c’était concret. Donc en deuxième année, je suis allée en PSI. N’ayant pas obtenu les écoles que je souhaitais, j’ai choisi de recommencer ma deuxième année (faire 5/2). Mon année de 5/2 m’a été très bénéfique puisque j’ai été admissible aux Petites Mines, à CCP et à l’IFMA (école de mécanique à Clermont-Ferrand). J’ai donc passé les oraux de toutes ces écoles.
J’ai été finalement admise dans plusieurs écoles m’intéressant beaucoup : les Mines d’Alès, l’INSA de Toulouse pour la spécialité Génie Mécanique (la sélection se faisait sur dossier et sur entretien de motivation). Après avoir longuement réfléchi et discuté avec mes profeseurs et mon entourage, je suis rentrée en 3ème année à l’INSA à Toulouse en Génie Mécanique.
Ce que je retiens de ces 3 années de prépa : une très bonne ambiance dans la classe aussi bien avec les enseignants qu’avec mes camarades, la disponibilité des profs (surtout par mail), la diversité des cours qui permet de toucher un peu à tout.
Julie GOURGOUCE, promo PSI 2011-2012, étudiante à l’INSA Toulouse.
Adresse électronique : gourgouc at etud.insa-toulouse.fr
Pour moi la PSI a commencé en 3/2 et a fini en 5/2… Après une première année de mise en route, la PSI s’est bien terminée pour moi. Dans une ambiance de travail agréable et avec une équipe de prof dynamique, les concours se sont rapprochés rapidement mais sereinement. Une fois les écrits passés, la préparation aux oraux fut adaptée à chacun, ce qui a facilité l’obtention de bons résultats. Personnellement, j’ai choisis l’école des Mines d’Alès pour sa notoriété dans le domaine du génie civil et aussi pour le soleil (mais ça, il ne faut pas le dire !).
François Labbouz, promo PSI 2011-2012, étudiant à l’école des Mines d’Alès.
Ces 2 années de prépa (MPSI puis PSI) ont été pour moi très instructives et formatrices. Je n’étais pas parmi les plus travailleurs (le coté très abstrait des cours me laissait froid et ma passion pour la musique avait tendance à me prendre du temps) mais n’ai jamais lâché prise : je ne le regrette pas aujourd’hui ! car je suis en première année à l’ENSMM (école nationale supérieure de mécanique et des microtechniques).
L’ambiance au sein de la prépa était bonne ; le côté "prépa de Province", bien que Fontainebleau soit proche de Paris, apportait beaucoup à la cohésion de la classe... pas comme dans certaines prépas prestigieuses !! c’est plus agréable et constructif ainsi.
Enfin, j’ai beaucoup apprécié l’équipe professorale de PSI, que j’ai trouvé dynamique, pédagogue et très proche des élèves. Toujours à l’écoute et prête à aider, c’est grâce à elle que j’ai pu intégrer mon école et je suis très reconnaissant envers ces enseignants.
Je tiens enfin à signaler que si les deux années de prépa constituent une période difficile dans la vie étudiante, la vie au sein du lycée François Premier m’a permis de lier des relations amicales très épanouissantes.
Yann Cherdo, promo PSI 2011-2012, étudiant à l’ENSMM à Besançon.
PSI : année 2010-2011 par La direction le 2014-11-27
Je m’appelle Thomas Gilli et je suis actuellement à l’I.F.M.A. ( Institut Français de Mécanique Avancée). Il s’agit d’une école d’ingénieur située à Clermont-Ferrand qui, comme son nom l’indique, est spécialisée dans la mécanique. Elle vient récemment de rejoindre le groupe des écoles des Mines. J’ai réalisé ma première année de classe préparatoire P.C.S.I. au lycée François 1er de Fontainebleau ainsi que ma 2ième année P.S.I.
Lors de la première année à l’I.F.M.A., je suis amené à suivre de nombreux cours qui sont la suite logique des bases vues en classe préparatoire PSI. On reprends ce qu’on a fait , on approfondit et on exploite.
La PSI de François 1er me permet à présent de travailler dans mes cours de première année d’école d’ingénieur avec une base solide. Que ce soit en en S.I. ( Sciences de l’Ingénieur) avec M. Honorat ou en Sciences Physiques avec M. Poncet. Ils ont tout deux une approche très concrète des choses. Les cours sont bien entendu théoriques mais sont toujours bien construits et illustrés d’exemples concrets, ainsi que de d’applications numériques. Ils nous permettent d’arriver en école d’ingénieur avec des idées précises des sujets que l’on va étudier et approfondir. Les méthodes développées en classe préparatoire sont les mêmes qui vont être utilisées en école face à un problème. Ces méthodes nous sont apprises pendant deux ans par les professeurs des classes prépas, et deviennent des automatismes. Après deux mois passés dans cette école, je me rends compte que ces professeurs m’ont vraiment bien formé pour les cours que je suis actuellement.
D’autre part, Fontainebleau est une ville magnifique où il fait bon vivre. Que ce soit l’héritage historique ou le cadre naturel, il est agréable de s’y promener pour décompresser après une journée de cours et de travail personnel. Enfin, je garde un très bon souvenir de l’ambiance entre étudiants durant mes années à François 1er. Elle est chaleureuse et pleine d’entraide. Et je maintiens d’excellents rapports avec les anciens élèves de la classe de PSI : on ne rate pas une occasion de se revoir.
Thomas Gilli, Promo PSI 2010-2011, étudiant à l’IFMA, à Clermont-Ferrand
J’avais fait le choix pcsi en terminale car on m’avait décrit dans les grandes lignes une filière plus expérimentale que la mpsi et je n’ai pas été mécontent de ce choix. Le choix PSI ou PC n’est ni à prendre à la légère ni à "expédier" rapidement car la SI (Sciences de l’Ingénieur) et la chimie sont deux matières intéressantes. Pour moi le choix fut relativement évident comme j’avais fait SI depuis la seconde et que j’avais des difficultés en chimie. Mais la présence des deux filières à François Ier depuis cette année 2010 est vraiment génial car le choix se base désormais réellement sur la matière de son choix.
Dans mon cas personnel, en plus de mon attrait pour la SI, j’ai pu gagner en temps de travail par rapport à la chimie et très sûrement en efficacité au concours. J’ai finalement intégré l’école d’Ingénieurs enseirb-matmeca à Bordeaux, et plus particulièrement la filière électronique.
Pour parler de la prépa en général, il s’agit d’un changement radical (vraiment ! cette fois), bien plus que les "pseudo" tournants collège/lycée ou seconde/première... On a l’impression de repartir quasiment de zéro surtout à cause du rythme de travail soutenu.
Grâce aux professeurs de pcsi et psi, cela a été plus facile à surmonter : Les professeurs sont présents et disponibles que ce soit en khôlles ou par mail. Il y a une très bonne communication et en général les khôlles sont un bon moyen de se remonter le moral après les D.S.. Mais bon... il ne faut pas se voiler la face : au concours ce sera sur la base des sujets de C.C.P., E3a ou bien encore mines et centrale.
Pour finir, l’ambiance entre tous les élèves est super détendue ce qui est un bon point pour le moral.
Alexandre Taymans, Promo PSI 2010-2011, étudiant à l’ENSEIRB, à Bordeaux.
Après une première année en MPSI, durant laquelle j’ai acquis de solides bases scientifiques, j’ai choisi de faire ma deuxième année en PSI. J’ai reçu un enseignement de qualité et j’ai notamment apprécié le côté concret des cours dispensés dans cette filière : on peut noter la présence de nombreux exemples d’applications concrètes dans les cours de mathématiques, de physique, et de sciences de l’ingénieur sans oublier les TP en sciences physiques et en sciences de l’Ingénieur.
Après deux années en prépa, j’ai intégré l’ENSMM de Besançon, réputée en mécatronique et micromécanique. Je garde aujourd’hui le souvenir d’une bonne ambiance de travail et d’une classe particulièrement bien encadrée aussi bien dans les matières scientifiques que littéraires.
Laurent Souqui, Promo PSI 2010-2011, étudiant à l’ENSMM - Besançon
J’ai effectué, après un bac scientifique option SI, une classe préparatoire PTSI au Lycée La Fayette de Champagne sur Seine, puis j’ai continué dans le même lycée en intégrant la classe de PSI. Cependant, au terme de cette deuxième année, je n’ai pas obtenu les écoles que je souhaitais intégrer, et j’ai opté pour une "5/2". J’ai choisi de m’orienter vers la classe de PSI du lycée François 1er, où je connaissais bien l’équipe pédagogique (mon professeur de physique chimie M Poncet partait du lycée La Fayette pour le lycée François 1er, et j’avais eu la chance d’avoir M Honorat, professeur de Sciences de l’ingénieur, en colle en PTSI). A l’issue de ma classe de 5/2, j’ai intégré l’UTC (Université de Technologie de Compiègne) en génie mécanique par alternance : je suis apprenti-ingénieur chez l’Oréal.
Pierre Durand, promotion PSI 2010 - 2011, étudiant à l’UT Compiègne, en alternance chez l’Oréal
Je ne souhaitais pas intégrer une "grosse" prépa. parisienne parce que je ne voulais pas subir trop de pression vis à vis des résultats et je ne pensais pas m’épanouir avec l’esprit de compétition qu’il peut régner dans ces classes. Je me suis donc tourné vers les prépas de province, et mon choix s’est vite arrêté sur celle de Fontainebleau car elle était située prés de mon domicile.
En ce qui concerne mon parcours j’ai fait une MPSI puis une PSI en deuxième année. J’ai choisi cette filière car, même si mes résultats en maths étaient corrects, je suis plutôt pragmatique et je préfère la physique et les sciences industrielles. Je n’ai pas regretté ce choix qui me correspondait mieux et qui, je pense, offre autant d’intérêt qu’une MP.
Plus particulièrement je trouve que la PSI de Fontainebleau offre un bon enseignement avec des professeurs compétents qui sont là pour leurs élèves et toujours à leur écoute, ce qui est très important durant ces deux voir trois années, en cas de redoublement en deuxième année pour accéder à l’école de son choix. Pour ma part, j’ai intégré l’ESTP, renommée dans les métiers du bâtiment mais aussi offrant de nombreuses opportunités de carrières dans des branches métiers plus générales.
Enfin, je garde un bon souvenir de ces deux années. Même si la quantité d’efforts et de travail à fournir est très importante, comme dans toute les classes prépas, il règne une bonne ambiance à François 1er et les élèves s’entraident, se supportent les uns les autres.
Pierre Saunier, promotion PSI 2010 - 2011, étudiant à l’ESTP
Cent quatre-vingt-troisième contribution PSP#Controverses: aveugle? Complice? Criminelle? Les qualificatifs n'ont pas manqué pour désigner l'attitude de l'Eglise catholique de France au lendemain de la remise du "rapport Sauvé" de la CIASE (Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l'Eglise). Plus de deux ans et demi d'enquête entre le 8 février 2019, date de son installation, et le 5 octobre 2021, date de la restitution du rapport final. Quels enseignement tirer de cette tragédie, ce voyage au bout de l'enfer enduré par des victimes qui se comptent par centaines de milliers, entre 1950 et 2020?
Maxence AUDO (Terminale 5 SEA) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre la sociologue Danièle Hervieu-Léger, les philosophes Paul Colrat et Foucauld Giuliani, l'essayiste Jean-François Bouthors et le professeur de droit Louis-Léon Christians via quatre tribunes publiées par Le Monde les 11, 12 et 20 octobre 2021.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane
« Quand Suzhou rencontre Fontainebleau »
Photographies dans les jardins de Suzhou
Des photographies dans les jardins de Suzhou sont exposées dans la salle A 01 d’ici jusqu’au 9 décembre.
Les jardins classiques ont toujours tenu une place importante dans la culture chinoise. Le paysagisme chinois, qui cherche à recréer des paysages naturels en miniature, est représenté de façon exceptionnelle dans les jardins de la ville de Suzhou. Ces jardins sont un microcosme où se mêlent les éléments de base de la nature tels l’eau, les pierres et les plantes, leur donnant un sens littéraire et poétique. Neuf de ces jardins sont classés dans la liste du patrimoine culturel mondial de l’UNESCO.
Vous y trouverez des œuvres de DAI Tao :
Des œuvres photographiques de FU Jinzhou :
Également des photographies de RU Jun :
Vous souhaitant que ces photographies vous invitent à rêver !
Cent quatre-vingt-deuxième contribution PSP#Controverses: l'Afrique, cinquième continent... ou cinquième roue du carrosse? Berceau de l'humanité, théâtre récent et actuel des pandémies les plus violentes tout en étant la région du monde à la plus forte croissance démographique (temps de doublement de la population d'un demi-siècle à peine), l'Afrique a tout d'abord été considérée comme épargnée par la Covid-19, avant d'en connaître les effets au printemps 2021. Est-elle, sur ce sujet comme sur d'autres, livrée à elle-même et oubliée par un "Nord" égoïste, économiquement et scientifiquement à même de se vacciner?
Orianne SAVATIER (Terminale 6 SEA) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre l'ex-président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le président de la République démocratique du Congo et de l'Union africaine Félix Tshisekedi Tshilombo, l'expert Mohamed Adow et l'économiste Philippe Quirion, et l'ancien administrateur du FMI pour les pays africains francophones Daouda Sembene via trois tribunes publiées par Le Monde les 12, 16 et 17 mai 2021.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane
La journée de jeudi 18 novembre 2021 était consacrée à la lutte contre le harcèlement scolaire. Occasion pour le lycée (lui-même engagé dans cette cause et primé l'an dernier pour la vidéo de trois de ses élèves de Terminale) de braquer le projecteur sur le documentaire Derrière les maux réalisé par Daphné Beauvois et Pascal Varambon et produit par le département de Seine-et-Marne (présentation du projet ici), dans lequel témoigne notamment Léa, ancienne élève du lycée, victime de harcèlement au collège. Bravo à elle, ainsi qu'aux autres témoins, acteurs et réalisateur.trice du présent film (suivre le présent lien).
Cent quatre-vingt-unième contribution PSP#Controverses: qui paie ses dettes... s'enrichit? Tout sauf nouveau, le débat sur la politique de la dette entre cigales et fourmis est réactivé par la crise sanitaire et son coût: souplesse ou rigueur budgétaire? Entre les adeptes du "quoi qu'il en coûte" à la Française et ceux d'une austérité traditionnellement nord-européenne, la controverse bat son plein. Ne faudrait-il finalement pas, sur ce sujet comme sur tant d'autres, "changer de logiciel" et aborder la question des dépenses et de la dette publiques des Etats membres de la zone euro au-delà du strict et unique paradigme budgétaire?
Auguste SAUNIER DE CAZENAVE (Terminale 6 SID) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre l'économiste Christian Descamps, l'économiste Anne-Laure Delatte et le politiste Benjamin Lemoine, l'économiste Pierre Gruson et le financier mondialement connu George Soros via quatre tribunes publiées par Le Monde le 22 janvier 2021.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane
(cliquez sur la photo)
Les campagnes d'inscriptions cumulatives en université sont ouvertes depuis début octobre.
Tous les étudiants inscrit en CPGE ont obligation de s'inscrire en parallèle dans l'une des 6 universités partenaires du lycée (voir rubrique s'inscrire à F1 - frais d'inscription)
DATES LIMITE INSCRIPTION CUMULATIVE 2021
Université | Pré-inscription obligatoire pour une première inscription | Clôture inscription |
Gustave Eiffel | non | 30 octobre |
Paris Saclay - Orsay | oui, avant le 30 octobre | 9 novembre - L1
14 novembre - L2 |
Université de Paris | oui, avant le 15 novembre | 10 décembre |
Sorbonne Université | oui, avant le 27 octobre | 17 décembre |
Evry Val d'Essonne | oui, sur demande | 17 décembre |
UPEC Créteil | non | 13 décembre |
Cent quatre-vingtième contribution PSP#Controverses: sacrifier sa propre jeunesse sur l'autel d'une plus grande cause, d'un plus grand bien commun... Tout sauf nouvelle, cette démarche, sans être évidemment assumée comme telle, n'est-elle pas à l'oeuvre depuis près de deux ans maintenant? Entre confinement, alternance "présentiel-distanciel", mise en route d'une réforme du lycée, du baccalauréat, des modalités d'accès à l'enseignement supérieur, c'est peu dire que les millésimes 2002-2004, bacheliers 2020-2022 donc, auront expérimenté des situations inédites comme peu d'autres avant eux. Quelles mesures prendre pour compenser ces incontestables dommages? La résilience, à quel prix?
Noane HADROT (Terminale 1 SEA), lauréate Ile-de-France 2021 du concours d'éloquence Lions International sur un thème proche, rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre un collectif de jeunes représentants lycéens et étduiants dont Mathieu Devlaminck (UNL), la directrice de théâtre Pascale Boeglin-Rodier, le maire d'Alfortville et vice-président de la métropole du Grand-Paris Luc Carvounas, et les politistes Alain Policar et Guillaume Mathelier via quatre tribunes publiées par Le Monde les 1er et 31 décembre 2020, 9 et 10 janvier 2021.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane
Cent soixante-dix-neuvième contribution PSP#Controverses: l'annonce il y a tout juste un an, le 12 novembre 2020, de la fermeture de son site de Béthune par le Japonais Bridgestone, un des leaders mondiaux de l'industrie pétrochimique pneumatique, provoquait un séisme socio-économique tant municipal que régional, voire national. Au-delà des déboires d'un secteur d'activités hyperconcurrentiel vu à raison comme tout sauf "éco-friendly", c'est d'interrogations et d'introspections qu'il s'est agi au cours des mois de novembre et décembre 2020: comment rebondir? Quels enseignements pour la politique industrielle et européenne?
Victor MARCINISZYN (Première 9 SED) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre les consultants du CEPII (Centre d'études prospectives et d'informations internationales) Vincent Sicard, Axelle Arquié et Thomas Grjebine, et Florent Menegaux (président de Michelin) via trois tribunes publiées par Le Monde le 1er décembre 2020.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane
Le lycée international François 1er accueille
Ancien Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (2012-14) et député-maire de Dammarie-lès-Lys (1988-2017/1983-2014)
Mercredi 17 novembre 2021, salle A01, 14h25-16h20
Trois temps: intervention de notre invité, entretien mené par deux élèves de Terminale, échange avec les élèves de PSP (Prépa Sciences Po) et DGEMC (Droit et Grands Enjeux du Monde Contemporain). Merci à J.-C. Mignon pour le temps consacré et à Madame Léger d'avoir permis la tenue de cette rencontre.